Monsieur Di Filippo, vous ne cessez de hurler, ce qui, je vous l'assure, n'est pas bon pour vos cordes vocales.
Si, une autre fois, l'envie vous prenait, monsieur Houlié, d'aller voir jouer l'équipe de l'Olympique lyonnais à domicile, vous devriez vous rendre au Parc OL et, pour cela, prendre une ligne de tram complètement saturée. Et ce serait la même chose si vous décidiez d'aller à Marseille pour assister à un match de l'OM : tous les soirs de match, le métro conduisant au stade Vélodrome est bondé – et même si vous y alliez à pied, vous vous retrouveriez au milieu des dizaines de milliers de personnes qui se pressent sur le boulevard Michelet !
Nous estimons que, dans la période actuelle, il convient de limiter les grands rassemblements. C'est le seul objet de l'amendement du Gouvernement qui, je le répète, ne vise pas à imposer aux responsables du petit stade de foot de la ville de Gières, dans l'Isère, de n'accueillir que 250 personnes plutôt que 400.