Je rebondis sur l'amendement de Mme Untermaier pour compléter mes propos concernant l'ivermectine.
Il ne revient pas au Gouvernement de traiter directement de la question du moyen des soins. À mon collègue Philippe Vigier, qui utilisait encore des formules peu engageantes pour parler de l'ivermectine, je rappelle que ce produit a fait l'objet de soixante-treize études internationales, menées sur une cohorte de 56 804 patients dans vingt-quatre pays. C'est très précis et, mes chers collègues, je vous invite à regarder ces études.
Il y a d'autres voies et moyens que l'obligation vaccinale. Les personnes qui n'ont pas envie de se faire vacciner, qui mettent en avant un avis éclairé pour refuser de le faire, peuvent recourir à ce traitement si elles sont infectées par la covid-19.