Je voulais ajouter un deuxième élément. Vous évoquez les capacités hospitalières de réanimation. J'ai bien entendu Mme Valérie Pécresse, hier matin lors d'une matinale, expliquer qu'hélas, le numerus clausus avait pendant dix ans fait des ravages. Je suis forcé de répéter ce que j'ai déjà dit dans l'hémicycle : les réanimateurs qui sont diplômés aujourd'hui et qui sortent de l'internat sont ceux qui étaient étudiants en médecine, en première année, entre 2007 et 2011, lorsque votre candidate, Mme Pécresse, était ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, donc chargée du numerus clausus !