Dimanche dernier, il est évident que les informations ont été données gratuitement, et d'ailleurs de manière beaucoup plus précise, dans une communication interne en même temps qu'elles étaient communiquées aux familles dans une communication externe. C'est la réalité et n'importe qui peut le vérifier. Je sais qu'on se plaît à créer des polémiques : on a trouvé celle-ci.
Pourquoi certaines précisions ont-elles été données la veille pour le lendemain ? Je l'ai dit tout à l'heure mais, une fois encore, vous pourrez essayer d'en faire une polémique. Les grandes lignes de la rentrée avaient été exposées auparavant et, surtout, les choses à faire dans les écoles le lundi matin n'étaient pas différentes de ce qui avait cours avant les vacances.
Notre politique a permis d'ajuster en permanence le protocole aux réalités. Ainsi l'avons-nous fait évoluer en décembre dernier, de sorte que le nombre de tests réalisés sur les enfants a été multiplié par plus de six. Le ministre de la santé l'a rappelé, la politique de tests de la France nous honore, eu égard au nombre réalisé. Ils concernent désormais les enfants, ce qui nous permet d'endiguer la maladie.
Deuxième réussite collective française : nous sommes l'un des pays où les élèves de 12 à 17 ans sont le plus vaccinés – à hauteur de 80 % – : c'est l'un des grands facteurs de protection de l'enseignement secondaire depuis le début de la pandémie.
La distribution de masques, qui relève de la responsabilité de l'État employeur, se déroule également depuis le début de l'épidémie au moyen d'une logistique très importante, étant donné que nous alimentons en permanence 60 000 points de retrait.
Oui, il y a une politique de masques. Oui, il y a une politique de tests. Quant aux capteurs de CO