Quant à ceux qui détiennent les solutions, qui feront ce que naturellement nous n'avons pas fait, je les invite à aborder ces sujets avec beaucoup de sérieux et à essayer – nous l'avons déjà fait par le passé – de cheminer ensemble sur ces questions.
Les violences faites aux femmes sont évidemment un fléau. Il est si profondément ancré que l'on ne pourra le combattre que par une mobilisation de la société – je ne me défausse en rien – dans son ensemble. Il est tellement enraciné que l'éveil des consciences a été extrêmement tardif. Ce dernier ne date pas d'il y a dix ans, lorsque la droite était au pouvoir, vous le savez et je le dis sans polémique…