Monsieur le ministre des solidarités et de la santé, je voudrais vous interroger, si vous voulez bien m'accorder une seconde d'attention. De deux choses l'une : soit la loi oblige chacun des Français à se faire vacciner et, dans ce cas, tout le monde doit s'y soumettre ; soit elle ne les y oblige pas – il me semble que c'est le cas –, et alors un Président de la République ne peut pas tenir les propos qui ont été tenus,…