Il vise à supprimer l'alinéa 14 de l'article 1er et nous permet de réaffirmer notre opposition au passe vaccinal. Je voudrais profiter de cette intervention pour revenir sur l'idée selon laquelle plus les minutes passent, plus nous débattons du passe vaccinal, plus l'adoption du projet de loi sera retardée – on parle désormais de la semaine prochaine –, et plus nous serions responsables du nombre de contaminations.