À aucun moment vous ne vous dites, monsieur Di Filippo, que si ni la Haute Autorité de santé dans son indépendance, ni le Conseil d'orientation de la stratégie vaccinale présidé par le professeur Fischer, l'un des plus grands immunologistes que la France ait compté, ni le Conseil scientifique dans toute sa diversité, ni les collèges des enseignants, ni les sociétés savantes ne proposent ce que vous voulez introduire dans la loi, c'est peut-être parce que ces propositions ne sont pas conformes aux données actuelles de la science ?