Ce que notre collègue Nilor a dit est absolument fondamental. Pourquoi n'apprenez-vous pas de vos erreurs, monsieur le ministre ? Cela fait deux ans que vous vous entêtez dans une stratégie unique. Alors que vous aviez déjà privé l'Hexagone de traitements précoces, vous avez reproduit la même erreur, cet été, en interdisant l'accès aux traitements précoces aux malades des territoires ultramarins, qui n'ont eu droit qu'à du Doliprane. Je ne comprends pas. Jusqu'à quand allez-vous répéter les mêmes erreurs ?
Plus que jamais, il faut permettre à ces populations d'accéder aux soins et ne pas faire de l'état d'urgence le droit commun car, en fin de compte, ce que vous êtes en train de faire, ce n'est que cela.