Pour une fois, j'aurais envie de donner raison à M. le ministre : si la crise est à ce point importante, qu'attendez-vous pour réintégrer tous les soignants qui ont été suspendus ? Face à un cataclysme tel que celui que vous nous décrivez avec l'apparition du variant omicron et l'accélération du nombre de personnes contaminées quotidiennement, vous devez manquer de main-d'œuvre.