Il vise à supprimer la date butoir d'entrée en vigueur du passe vaccinal fixée au 15 janvier : d'une part, parce que la loi ne sera pas encore adoptée à cette date et, d'autre part, parce que, contrairement à ce qui a été dit, il n'y a aucune urgence en la matière : ce n'est pas le passe vaccinal qui empêchera les 300 000 contaminations par jour, d'autant plus que le passe sanitaire existe. En outre, les conditions actuelles d'accès au vaccin ne permettent pas de respecter cette date.
Je voulais dire également, à l'occasion de ce dernier amendement, que, le jour où des historiens se pencheront sur la drôle de période que nous sommes en train de vivre,…