En effet, leur existence est pertinente : au plus près des entreprises, ils pourraient donner une opinion sur l'organisation et éventuellement saisir les différentes instances quand le droit du travail n'est pas respecté et la protection des salariés pas assurée.
Enfin, et cela ne manque pas de piquant, vous vous en prenez aux entreprises privées, quand s'agissant de l'administration, notamment de l'éducation nationale qui emploie près de 800 000 personnes, en particulier des enseignants, différentes études publiées récemment – je pense notamment à une tribune de Jérôme Marty, membre de l'Union française pour une médecine libre (UFML) – indiquent qu'aucune mesure véritable n'a été prise pour protéger les enseignants. Un tiers d'entre eux seront assez directement exposés au covid dans les semaines qui viennent et aucun dispositif de captation de CO