Nous espérons que sa libération sera une première étape vers un respect accru, de la part de ce partenaire ancien qu'est l'Égypte, des textes internationaux qu'il a signés. De nombreux prisonniers politiques demeurent enfermés, et toute la lumière reste à faire sur les disparitions des dernières années.
La France ne peut pas tout, mais elle a, vis-à-vis du régime égyptien, un pouvoir d'influence qui peut se révéler bénéfique. Monsieur le ministre, vous connaissez très bien l'Égypte : comment voyez-vous la suite ?