Je vous l'accorde, monsieur le député.
Enfin, l'opposition de Jean-Hugues Ratenon se fonde sur de fausses affirmations : par exemple, lorsqu'il dit que la réforme soumettrait certaines aides à la souscription par les agriculteurs d'un contrat d'assurance. Cela n'est écrit nulle part dans le texte et c'est strictement faux. Ensuite, et c'est étrange, il a ajouté que les assureurs avaient organisé un système dans lequel deux d'entre eux se partageaient le gâteau – en réalité, ils sont un peu plus nombreux, mais peu importe. C'est presque du darwinisme économique : croyez-vous que le secteur de l'assurance multirisque climatique n'attirerait que deux acteurs principaux s'il était si lucratif et rentable ? Non, à l'évidence.