C'est ainsi que cela fonctionne aujourd'hui, et c'est un copier-coller de la réglementation européenne.
J'en viens à la question de l'équilibre, qu'ont notamment évoquée Guillaume Larrivé et André Chassaigne. Les études ont démontré que même si tous les agriculteurs s'assuraient, comme le font les conducteurs de voitures, la mutualisation des risques ne ferait pas baisser le coût de l'assurance. Voilà la grande difficulté.