…nous obligeant ensuite à augmenter le niveau de subvention – et pour l'agriculteur, zéro bénéfice ! C'est exactement l'inverse qu'il faut faire pour que le système bénéficie bien à l'agriculteur et non à l'assureur – mais je ne voudrais pas faire croire que je suis encore plus à gauche que MM. Potier, Dufrègne, Bricout et Chassaigne.