En tout cas, le Canada s'interroge beaucoup sur le devenir de l'orientation qu'il a prise.
Pour toutes ces raisons, parce que l'exposé des motifs ne permet pas de répondre à nos préoccupations, je suis défavorable à la création du service public du cannabis. Je fais partie des parlementaires qui considèrent qu'il n'est pas interdit d'interdire, et je préfère apporter mon soutien aux forces de police.