Laissez-moi conclure, monsieur le président, je serai bref. M. Véran commence en effet à expliquer que l'on va laisser filer l'épidémie – ce qui mériterait d'ailleurs un débat ici même, et non pas une décision du seul Gouvernement. Cela démontre bien que nous sommes aujourd'hui dans une logique différente et que nous devrions réfléchir aux outils que l'exécutif a mis en place, puisqu'il reconnaît lui-même que la situation a changé.