Nous sommes des républicains universalistes, monsieur le président, et je ne comprendrais pas qu'on ne puisse pas parler dans cette assemblée de ce qui se passe en Chine aujourd'hui. Il est impératif de dire à la face du monde et de dire au gouvernement chinois, ce qui se passe, parce que nous ne pourrons pas nous taire plus longtemps et parce qu'il impossible que les marques continuent, ici ou ailleurs, à utiliser, comme elles le font actuellement, le travail forcé.