Il ne m'appartient pas d'insister sur tous, par exemple le développement économique à Roubaix ou les mesures prises par les ministères de l'intérieur et de l'éducation nationale, mais nous serons tous deux d'accord pour considérer qu'il y a beaucoup de travail à faire, même si beaucoup est fait.
Vous m'interrogez sur le sujet précis des cours en langues d'origine pour nos élèves.
Vous l'avez rappelé, ces cours sont très anciens. On peut donc regretter qu'aucun gouvernement n'ait tenté de mettre fin à de telles dérives dans le passé.