Vous nous parlez des droits de succession. Lorsqu'on examine cette question avec attention, on constate effectivement qu'ils sont un peu plus élevés en France que dans les autres pays développés. Je n'ai aucune difficulté à envisager une baisse de ces droits, notamment concernant les successions en ligne indirecte pour lesquelles la fiscalité, c'est vrai, est pénalisante.
J'aimerais simplement vous rappeler que les trois quarts des successions ne sont soumises à aucun impôt.