Vous avez raison, il y a aujourd'hui une crise inédite dans le secteur porcin. Face à elle, un plan d'urgence et, surtout, une mobilisation de tous sont nécessaires. Figurez-vous qu'en raison d'une augmentation des charges et d'un cours du porc structurellement bas et qui ne cesse de décroître, si rien n'est fait, pas moins de 30 % de nos éleveurs sont susceptibles de cesser leur activité dans les douze à dix-huit prochains mois.