…et qu'on laisse donc entendre que nos agriculteurs utiliseraient des produits qui ne sont pas homologués. Autrement dit, parce que certains émettent des doutes à propos de différents produits, on jette une suspicion sur les agriculteurs – alors que la responsabilité d'homologation relève des autorités sanitaires européennes et françaises.
On pourrait aussi bien parle de « produits autorisés par les agences sanitaires », et ce serait une chose très différente que de désigner la plateforme sous le nom de « produits autorisés par les agences sanitaires signal. »
Quant à la forme, je pense qu'il faut suivre une méthode. Comme vous l'avez dit, ce dispositif a d'abord été lancé en Nouvelle-Aquitaine. La bonne méthode consiste à procéder à un retour d'expérience pour examiner ce qui s'est passé et voir si cela a servi à quelque chose. C'est la raison pour laquelle j'ai pris la décision de mettre le dispositif en pause, pour comprendre le retour d'expérience. Vous le voyez : ma position est très claire sur le fond et sur la forme.