De ce fait, ce n'est plus le premier magistrat de la petite commune qui pourra représenter celle-ci au sein de l'EPCI, et cela diminuera encore un peu plus son poids dans les décisions prises par l'organe exécutif.
Le transfert obligatoire de certaines compétences des communes vers les EPCI a déjà considérablement diminué les marges d'action des maires, affectant en cela le principe fondamental de la libre administration des communes. Si demain – puisque vous avez précisé en commission, madame la rapporteure, que ce texte, s'il était adopté, ne s'appliquerait que lors du prochain scrutin municipal prévu en 2026 –, cette mesure devait être adoptée, ce serait un nouveau coup dur porté à nos petites communes,…