Cette façon d'aborder la question est différente de celle de certains collègues appartenant à d'autres groupes, qui ont tenu des propos profondément régressifs qui devraient faire honte aux nouvelles générations – dont 46 % des élus sont des femmes : ce n'est pas encore la parité, mais nous nous en approchons.
Voilà pourquoi, après les lois de 2000, de 2007, de 2013 et 2019, d'autres lois sont encore nécessaires. Celle-ci permettra de faire progresser l'égalité femme-homme et la parité dans les communes. C'est la raison pour laquelle, avec beaucoup d'honneur et de fierté, l'ensemble du groupe La République en marche votera pour ce texte.