De quoi parle-t-on ? François Pupponi vient de le rappeler : à leur arrivée dans l'île, certaines personnes ont bénéficié du crédit d'impôt para-hôtelier. Ce sont vos impôts, mes impôts, qui leur ont donné un abattement fiscal de 30 % ; il me semble donc normal – et surtout moral – que quelques années plus tard, la revente du bien soit taxée. On ne saurait percevoir un gain à l'entrée et un autre à la sortie.
J'aurais certes préféré que l'amendement soit rédigé différemment, en plafonnant la taxe à 30 % pour laisser aux maires la liberté de l'ajuster, mais il me sied tout de même.