Monsieur le président, chers collègues, c'est pour moi un grand honneur de m'adresser à vous, ici, dans un lieu si chargé d'histoire, pour votre pays et pour l'Europe et ses valeurs. Cela l'est encore plus en une année où nous commémorons la fin de la Première Guerre mondiale, il y a cent ans – cette « Grande guerre » à laquelle sont associées tant de souffrances entre Allemands et Français.
Le fait que je prenne la parole devant vous en tant que président du Bundestag est l'expression de notre amitié étroite, l'expression d'un partenariat fondé sur la confiance, notamment entre nos deux assemblées. Je vous transmets les salutations cordiales de mes collègues du Bundestag.