J'entends que vous abondez en mon sens. Mais ce que vous proposez est différent de ce que je viens d'évoquer. Le contrôle que vous envisagez nécessiterait un pouvoir d'investigation et d'inspection dont ni les établissements, ni les universités, ni le Comité consultatif national d'éthique (CCNE), comme vous le prévoyez, ni l'Agence de la biomédecine ne disposent. Très concrètement, le dispositif que vous prévoyez n'est pas opérant.