Car, contrairement à ce que M. de Rugy a expliqué ce matin au Bundestag, c'est bien de cela qu'il s'agit. Le format bilatéral franco-allemand ne mentionne les autres nations que comme accessoires. En prévoyant d'arrêter une position commune sur la réforme de la zone euro au printemps 2018, la France et l'Allemagne snobent le Conseil de juin, durant lequel les États membres doivent décider collectivement d'une feuille de route.
Nos partenaires espagnols, italiens, portugais et grecs – le « Club Med », comme aime les appeler la chancelière Angela Merkel –