J'aurais aimé, nous aurions toutes et tous aimé faire cette dernière intervention dans un autre contexte international. Toutes mes pensées vont bien sûr au peuple ukrainien.
Il y a quelques mois, monsieur le ministre, vous déclariez : « Il se dit qu'une mer calme n'a jamais fait un bon marin. » Et vous ajoutiez : « Le ministre de la santé que je suis n'a jamais connu autre chose que la tempête. »