Tout d'abord, en ce jour funeste, j'ai bien évidemment, avec mon groupe, une pensée en soutien au peuple ukrainien.
Cette intervention, ma dernière en séance publique – en principe, mais je reste prudent –, est consacrée à la lecture définitive de la proposition de loi visant à démocratiser le sport.
Je devrais m'en réjouir. C'est le cas, et pourtant l'adoption définitive de ce texte arrive bien tard avec un vote in extremis, dans les ultimes secondes, voire les arrêts de jeu…