Lui qui a l'indécence de vouloir tourner le dos aux victimes de son ami Poutine et qui préfère les maintenir en Pologne, l'un des pays les plus pauvres de l'Europe, plutôt que de faire preuve de solidarité et d'accepter de répartir l'effort à faire face à cette guerre. Lui qui espérait un Poutine pour la France. Quelle ironie de l'histoire faite à celui qui en travestit les leçons que cette actualité qui vient nous rappeler qu'il existe toujours en France une cinquième colonne et que le racisme, le fascisme, la nostalgie du pétainisme riment aujourd'hui encore avec collabo !