J'ai aussi une pensée chaleureuse pour les Français de Russie et du Bélarus. Ce drame et les nécessaires sanctions qui ont été décidées auront un effet irrémédiable sur le cours de leurs vies. Je tiens à les assurer du plein soutien de la France, en commençant par nous tous ici réunis. Nous ne les oublions pas.
Je salue tous ceux qui, au-delà des frontières ukrainiennes, n'ont pas hésité à manifester publiquement leur désapprobation, leur incompréhension et leur colère, notamment les sportifs, artistes, universitaires et citoyens russes et biélorusses qui, en dépit de la désinformation menée par leurs États respectifs, risquent leur liberté pour dénoncer une guerre dont ils ne veulent pas. Nous ne les oublions pas.