Je ne suis pas postier mais cet après-midi je parle deux fois. Je ne répéterai pas ce que j'ai dit tout à l'heure. Tout a été dit, et bien dit, par l'ensemble des collègues.
Je voudrais à présent, au nom de la commission des affaires étrangères, apporter quelques précisions en conclusion de ce débat, mais non sans avoir au préalable rendu hommage à Marielle de Sarnez.