Vous avez évoqué le rôle de la Banque de France auprès des PME-PMI, notamment en matière de cotation. Or, selon moi, les cotations de la Banque de France peuvent être un vrai handicap pour les entreprises qui démarrent.
Quant à la BPI, elle joue le rôle d'un juge de paix entre ces jeunes entreprises et les autres intervenants bancaires, avec cet inconvénient que cela empêche souvent les banques de se forger un jugement autonome et de faire leurs choix propres en matière d'investissement.
Enfin, si les banques financent volontiers l'investissement, elles sont beaucoup plus réticentes à financer le besoin des entreprises en fonds de roulement. Que fait la Banque de France pour inverser cette tendance ?