Monsieur Petit, je vous remercie pour la présentation de vos ambitions pour le CNRS. Je retiens tout particulièrement la pluridisciplinarité, qui doit être au coeur de nos politiques de recherche, et l'ouverture vers le secteur industriel.
Le Gouvernement et la majorité sont mus par la volonté de donner plus de moyens et de visibilité aux partenariats entre les universités, les organismes de recherche et le monde de l'entreprise. Ceux-ci sont fondamentaux pour accentuer les synergies entre recherche et industrie au bénéfice de l'économie de notre pays et pour donner de l'ampleur à l'innovation, compétence désormais rattachée à l'enseignement supérieur et à la recherche.
Le programme 192 « Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle » met en avant le soutien au développement des PME innovantes et à la diffusion de l'innovation. Comment comptez-vous articuler cette action primordiale pour placer l'innovation du CNRS au coeur des entreprises et du territoire ? Quelle sera en particulier votre politique pour les sociétés d'accélération du transfert de technologies (SATT) dont le CNRS est actionnaire ?