Monsieur le président-directeur général, merci d'avoir fait revivre la marque Alpine qui nous a fait rêver dans notre jeunesse.
Vous l'avez dit tout à l'heure, ce groupe est très français et les Français y sont très attachés. Dans ce contexte, comment Renault intègre-t-il ou compte-t-il intégrer des transformations qui sont chères à la France et au Gouvernement, par exemple en termes d'égalité hommes-femmes, notamment salariales, mais aussi de gouvernance, de lutte contre le réchauffement climatique ? Y a-t-il une stratégie de réindustrialisation – pour votre part vous avez parlé de renforcement ?
Par ailleurs, Il va y avoir bientôt des changements de gouvernance à la tête de Renault. Les fonctions de PDG ont déjà été scindées chez Mitsubishi. Envisagez-vous de faire la même chose à la tête de Renault, auquel cas de rester à la tête de l'alliance ?