Le 13 décembre 2017, vous avez annoncé prendre une participation dans le groupe de presse Challenges, l'objectif étant la création de contenus adaptés aux utilisateurs de voitures connectées.
D'après vous, ceux qui étaient des conducteurs deviendront des passagers à part entière, et chercheront à s'occuper dans un monde où les Français et les Européens passent aujourd'hui en moyenne deux heures par jour dans leur véhicule.
Vous nous dites qu'aujourd'hui les éléments déterminants du choix du véhicule sont ses performances et le plaisir de la conduite, et que demain il s'agira probablement de la qualité du contenu des véhicules, et que cet investissement dans le groupe Challenges est un test grandeur nature.
Malgré tout, il nous est difficile de comprendre le lien entre la presse écrite et un constructeur automobile tel que Renault. Pouvez-vous nous expliquer les raisons d'un tel investissement, alors que vous annoncez vouloir prendre les devants face à de nouveaux concurrents comme Google, qui investit massivement dans l'automobile ?