Il n'est pas question de postures aujourd'hui. C'est tout l'honneur de notre Assemblée de débattre de ce sujet sereinement. Il est pourtant difficile : il touche aux convictions, aux histoires de vie de chacune et chacun. Il est primordial de suivre les différents débats et missions lancés sur le sujet. J'insiste : les discussions devront être sereines et apaisées. Il faut en outre procéder à une évaluation de l'excellente loi en vigueur, très récente et, hélas, insuffisamment connue des Français.
Laissons donc le temps au débat de société de se dérouler. J'encourage tous nos concitoyens à y participer, notamment dans le cadre des états généraux de la bioéthique lancés la semaine dernière. À ce stade, il ne me semble pas opportun de légiférer à nouveau dans ce contexte.