… ou la réalité d'un droit à l'erreur qui en soit vraiment un ?
Enfin, pourquoi avoir utilisé ce texte pour imposer quelques mesures qui n'ont rien à y faire ? J'y reviendrai un peu plus tard.
Ces questions risquent de rester sans réponse. Nous verrons bien.
J'ajouterai deux remarques. D'abord, madame la présidente, chers collègues, la bonne tenue de nos travaux, autant en commission qu'en séance, nous a permis de dérouler sereinement l'intégralité des articles, ce dont je vous remercie.
Ensuite, que nos concitoyens aspirent à une administration plus conseillère, moins froide, moins rigide, moins stricte, nous sommes d'accord sur le constat, mais nous craignons que ces derniers ne soient déçus par la réalité des mesures concrètes qui leur sont proposées.