Chaque ministre y va de sa petite réforme, souvent pour se faire plaisir. Mais la question de l'éducation n'est pas traitée de façon sérieuse. Les personnels sont trop souvent abandonnés face aux difficultés, qu'ils gèrent comme ils le peuvent.
Monsieur le ministre, continuerez-vous à déshabiller Jacques pour habiller Paul ? Ou bien avez-vous en réserve, comme on le dit, les 2 500 postes nécessaires à votre réforme ?