Inutile, inutile, inutile… Voilà en quelque sorte le leitmotiv des interventions que nous venons d'entendre sur ce texte. Je le regrette car s'il est vrai, comme je l'ai dit dans mon rapport, que le droit à l'eau est évoqué dans différentes lois, il n'est concrètement pas effectif. Dire que le droit existant suffit est donc une erreur.
Je ne répondrai pas aux arguments de ceux qui se sont faits ici les porte-parole de Suez, Veolia et de la SAUR, et qui ont dû répondre aux coups de téléphone de leurs lobbyistes.