Monsieur le directeur, comme vous l'avez souligné, la modernisation des outils de la dissuasion nucléaire, sur laquelle repose la garantie ultime de notre sécurité et de notre souveraineté, est une question importante. Elle représente un défi technologique, financier et humain. Le renouvellement des capacités françaises à court et long terme est fondamental pour sa crédibilité. Le défi humain a toute son importance si nous voulons conserver un certain nombre de postes-clés comme ceux d'atomiciens, par exemple, dont la formation est longue. De quels moyens disposez-vous et avez-vous dressé une liste des métiers à protéger ?