La question se pose effectivement concernant les monnaies virtuelles, mais également au regard des évolutions technologiques elles-mêmes, extrêmement importantes : il est de plus en plus difficile d'assurer la sécurisation des données financières individuelles. Je voudrais abonder dans le sens de mes prédécesseurs : ils ont parfaitement raison, la directive est d'ores et déjà en retard par rapport à un certain nombre de pratiques. Tous ceux qui s'intéressent à l'intelligence économique savent que les dispositifs de hacking sont de plus en plus sophistiqués et que la question de la protection des données personnelles se pose avec une extrême acuité.