Aucune des filières ne sera déstabilisée. C'est pourquoi la France, depuis le début, privilégie le contenu au calendrier. C'est pourquoi, au mois de décembre dernier, à Buenos Aires, alors que de nombreux États pressaient pour un accord, la France a réactivé une coalition de onze États membres particulièrement sensibles à la dimension agricole. Notre mobilisation ne faiblit pas. Il y a quelques jours, le Premier ministre l'a dit à la commissaire européenne Anna Cecilia Malmström ; je le lui ai également réaffirmé par téléphone.