Les Françaises et les Français n'ont pas de raison de nourrir d'inquiétudes particulières sur la situation de la Bourse. La correction boursière que nous connaissons était attendue – je dirais même nécessaire : il n'est jamais bon que les valorisations boursières s'écartent par trop de la valeur réelle des actifs. Elle vient aussi d'une anticipation d'un relèvement des taux d'intérêt par les banques centrales, notamment la Banque centrale européenne. Je m'entretiendrai d'ailleurs à ce sujet avec Mario Draghi cet après-midi.