Monsieur Morel-À-L'Huissier, vous avez raison : nous souhaitons remettre l'éleveur au centre du dispositif. Remettre l'éleveur au centre du dispositif, c'est aussi protéger la biodiversité. C'est ce que nous avons fait en définissant un seuil de viabilité des populations de loups sur le territoire national, dans le cadre du plan loup, sur lequel nous avons organisé un débat public.