Au mois de juillet dernier, vous avez annoncé que le réseau ferroviaire devait être réorganisé et qu'il fallait donner des perspectives à la gestion des lignes. À cet égard, la ligne TER de la Vallée de la Marne fait figure d'archétype : elle traverse trois régions et dépend de deux autorités organisatrices.
Par ailleurs, pourquoi les travaux sur les lignes de TER ne sont-ils pas réalisés de nuit comme cela se pratique ailleurs ? En effet, l'argument portant sur le coût ne paraît pas pertinent lorsqu'il est comparé à celui des moyens de substitution mis en oeuvre pour remplacer le service ainsi qu'à la perte de recette.
Pour la ligne TER Vallée de la Marne, vous avez supprimé quatre trains pour 2018 : seront-ils remis en service en 2019 ?