Je n'ai pas obtenu de réponse à ma question portant sur le Service annexe d'amortissement de la dette (SAAD).
Par ailleurs, je souhaite interroger nos interlocuteurs au sujet des 3 100 kilomètres de lignes capillaires, qui apportent 25 % du trafic de fret ferroviaire exprimé en tonnekilomètre. Pourrait-il être envisagé que la SNCF consacre 10 % de son budget de communication, soit 23 millions, au sauvetage de ces lignes, alors que l'État a donné son accord pour y consacrer 10 millions ? Cela porterait la somme à 30 millions, ce qui n'est guère considérable au regard du service qu'elles rendent.