– L'exemple que vous avez sous les yeux, sur lequel notre collègue Loïc Prud'homme doit encore donner des observations, et qui n'est donc qu'à l'état de maquette, vous montre quelle forme pourraient prendre ces notes.
Le format est conçu pour être court et efficace : quatre pages, références non comprises. Quelques graphiques et illustrations sont intégrés pour faciliter la compréhension. Un résumé ramasse l'essentiel en un espace court.
La note commence par le contexte puis se poursuit avec des objectifs. Elle traite des mesures mises en oeuvre et dresse un bilan des résultats déjà obtenus. Elle ouvre sur la question de la recherche, qui doit être présente dans toutes nos réflexions. Le mariage entre les politiques publiques et la recherche, c'est là notre valeur ajoutée.
Ces notes sont préparées par une alliance entre les parlementaires, les fonctionnaires parlementaires et les experts scientifiques, internes ou externes. Par exemple, sur la rénovation énergétique, nous avons mis à contribution, en particulier, Didier Roux, ancien directeur de la R&D de Saint-Gobain, membre de l'Académie des technologies et de l'Académie des sciences, qui avait participé également à notre audition de juillet 2017 sur le sujet.
À la fin, la responsabilité du texte doit être endossée par le politique. Après avoir envisagé différentes façons de faire référence à nos collègues responsables de la note, nous avons décidé, du moins provisoirement, de faire figurer seulement leurs noms, comme vous le voyez sur la maquette qui vous a été distribuée.
Sur la charte graphique, l'Assemblée nationale peut sans doute encore progresser et en est consciente… Ce que vous avez sous les yeux est déjà un net progrès par rapport à la première version.
Nous devons aussi progresser sur notre manière de communiquer. Les notes peuvent être publiées sur un site internet, mais il y a bien d'autres façons nouvelles de communiquer, par les réseaux sociaux ou par vidéos, pour diffuser plus largement nos travaux et renvoyer une image plus moderne.